Christian Clavier et Didier Bourdon vont jouer pour la première fois ensemble au cinéma, dans le prochain film d'un coauteur des Tuche, Julien Hervé. Didier Bourdon et Christian Clavier se sont donnés la réplique au théâtre dans La Cage aux folles et se sont remplacés au cinéma dans Les Profs, Clavier incarne Cutiro tandis que Bourdon tient le rôle dans la suite. Mais jusqu'ici, les deux Rois de la comédie française n'avaient encore jamais partagé l'affiche d'un même film. Comme le révèle Christian Clavier dans un entretien au JDD paru ce week-end, tous deux vont enfin être réunis au cinéma pour une comédie dont le tournage vient de commencer. Ce film est écrit et réalisé par Julien Hervé ancien auteur des Guignols, coauteur de la saga des Tuche, et du prochain volet d'Astérix. "C'est une comédie sur un rapport social contrasté, entre un propriétaire viticole dans le Bordelais très prétentieux marié à Marianne Denicourt et une famille de concessionnaires automobiles incarnés par Didier Bourdon et Sylvie Testud", détaille Christian Clavier dans les colonnes du Journal du dimanche. "Ma fille va se marier avec leur fils. Inutile de dire que je suis très peu emballé. Comme cadeau, pour nous faire passer la pilule, nos enfants offrent aux parents et aux beaux-parents des tests ADN. Qui évidemment vont révéler des choses étranges..." A l'image d'une comédie comme Le Bon Dieu, dont le 3ème volet vient de sortir au cinéma, ce film - dont le titre sera Cocorico - jouera pleinement sur les contrastes et les origines sociales opposées. Au casting sont donc annoncés Marianne Denicourt, Sylvie Testud, en plus du tandem Clavier-Bourdon. Quiz - Didier Bourdon ou Christian Clavier ? Qui joue dans ce film ? Rappelons que Didier Bourdon est en ce moment à l'affiche de Permis de construire, avec Eric Fraticelli. Quant à Christian Clavier, il vient de retrouver le costume de Monsieur Verneuil pour Qu'est ce qu'on a tous fait au Bon Dieu, toujours avec Chantal Lauby. Le pitch se présente ainsi Ce sont bientôt les 40 ans de mariage de Claude et Marie Verneuil. Pour cette occasion, leurs quatre filles décident d’organiser une grande fête surprise dans la maison familiale de Chinon et d’y inviter les parents de chacun des gendres, pour quelques jours. Claude et Marie vont devoir accueillir sous leur toit les parents de Rachid, David, Chao et Charles ce séjour "familial" s'annonce mouvementé. Le Bon Dieu 3 on a rencontré les filles Verneuil
LaCage aux Folles, bientôt au Théâtre ! Du 24/11/2008. Cinéma / Théâtre. La Cage aux Folles, bientôt au Théâtre ! Didier Bourdon et Christian Clavier dans la Cage aux folles ! Le Parisien a annoncé qu’une nouvelle adaptation de la « Cage aux folles » devrait être jouée à partir de Septembre 2009 à mai 2010 au théâtre de la porte Saint-Martin à Paris ! La famille de Jean
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Ladiffusion est prévue pour cet automne en première partie de soirée. Dans les prochains mois, TF1 retransmettra plusieurs spectacles, comme ceux de Florence Foresti et de Franck Dubosc ou encore la pièce de théâtre "La cage aux folles" avec Christian Clavier et Didier Bourdon.
Forum La Cage aux follesSujet AvisVOTEDe fretyl, le 26 mars 2007 à 0219 Note du film 4/6Je souhaite voter pour une réédition de ce film en DVD. RépondreDe Gilou40, le 16 mai 2010 à 1517 Note du film 3/6J'ai enregistré hier au soir l'émission avec Didier Bourdon et Clavier sur la cage aux folles. Je viens de la voir d'un regard distrait, en repassant, et les quelques extraits que j'ai vu me laissent de marbre… Alors je voudrais savoir si nos amis Parisiens DVDToiliens ont eu des "retours" favorables. Parce que, comme pour le cinéma, on parle d'"entrées", mais je ne sais pas si vraiment cet opus est aussi réussi que celui avec Poiret/Serrault. Tant qu'aux critiques sur les journaux Parisiens, je ne les ai pas lues. Ont elles été élogieuses ? RépondreDe Impétueux, le 16 mai 2010 à 1908Je trimballe un peu partout mon aversion du théâtre, mais je dois à la vérité d'admettre que la version originale – originelle – de La cage aux folles, avec Poiret et Serrault, au Théâtre du Palais-Royal a été un des plus forts moments de rigolade de ma vie, à un point tel que je l'ai doublé et que j'ai vu deux fois la pièce, en 1973-74. C'était absolument extraordinaire et, au fil des représentations et en fonction de la qualité des publics tous les acteurs disent qu'il est des fois où le public a du talent, les deux compères modifiaient, corrigeaient, allongeaient les répliques et les scènes au point, paraît-il qu'il pouvait, selon les soirées, y avoir une demi-heure de plus ou de moins. Pour que mon souvenir ne soit pas altéré par autre chose, je n'ai jamais vu le film de Molinaro, que certains disent fort drôle ; pas davantage je n'ai vu la reprise de 1978 avec Michel Roux et Jean Jacques. C'est dire si je me refuse plus encore à regarder, sur la scène ou même à la télévision, Bourdon et Clavier reprendre les rôles de Georges et d'Albin. Si j'ai infiniment apprécié le rosse talent de Bourdon, aux temps acides des Inconnus et même largement avec Les trois frères, voire Le pari, je crains que la qualité de son jeu ne se soit altérée au fur et à mesure qu'il prenait des kilos, et à due proportion, ce qui laisse peu de place à de grandes espérances ; quant à Clavier, qui joue tout et n'importe quoi depuis vingt ans, qu'en espérer ? RépondreDe Gilou40, le 16 mai 2010 à 2100 Note du film 3/6Le film est drôle, oui. Mais aucune comparaison à faire avec ce que vous avez pu voir et que, adorant le théâtre, je suppose grandiose ! Et dans l'émission que j'évoque, on voyait en alternance les prestations de Serrault et celle de Bourdon et là ôu le talent, l'envolée, et la facilité du premier éclataient, le deuxième ne déployait que cabotinage, ringardise, et très pâle copie de l'original. Et j'ai beaucoup d'affection pour Didier Bourdon. Quant à Clavier, il m'a semblé entendre Jacquouille la fripouille, en plus efféminé ! Quand je pense que pas un Producteur n'a pensé à mettre l'original sur un support ! Insensé ! RépondreDe fretyl, le 16 mai 2010 à 2233 Note du film 4/6Je n'ai jamais vu et je ne verrai malheureusement jamais la pièce de théâtre avec Poiret et Serrault. C'est tragique, incroyable, scandaleux même, qu'il n'y ai jamais eu d'enregistrement pour cette pièce, qui pourtant a été joué pendant presque deux ans. Cela prive ceux qui n'était pas née dans les années 70 de pouvoir voir ce qu'à été cette pièce pourtant culte. Je n'irai par contre pas voir la pièce avec Bourdon et Clavier, et ne l'achèterai pas non plus en dvd. Déjà pour une raison, le projet a été me semble t'il lancé après la mort de Michel Serrault. Peut-être les réalisateurs avaient-ils peur que l'opinion de celui-ci soit défavorable à une aussi grotesque reprise ?… Car on le sais Michel Serrault n'avait pas toujours sa langue dans sa poche. Et puis Bourdon en Zaza, ça ne va pas du tout. Dans ce rôle du moins dans le film Serrault était pathétique, parfois émouvant, il avait réussi à rendre par moment presque belle cette Zaza. Lorsqu'il arrive dans La Cage aux folles II devant les flics emmené par Marcel Bozzuffi, on n'oublie pas le regard des inspecteurs qui voient arriver cette superbe rousse mature et distingué… Bourdon avec ses kilos ne peut absolument pas entrer dans le corps d'une femme qui ne pouvait être joué que par Serrault, qui était tout, sauf vulgaire. RépondreDe starlight, le 16 mai 2010 à 2322 Note du film 5/6Tout à fait d'accord avec votre approche !… J'ai eu la chance de voir la pièce avec leurs créateurs et je peux vous dire que c'est l'un des meilleurs souvenirs que je puisse avoir des "comédies de boulevard"… Le couple "Poiret-Serrault" fonctionnait avec une telle alchimie !… Il est vrai que nos deux compères n'en étaient pas à leur coup d'essai et nous avions la chance de voir certains de leurs sketchs via la télévision à une époque bénie où nous "savions" rire ! J'ai revu quelques années plus tard la "cage aux folles" avec Michel Roux comédien apprécié à Paris pour ses pièces de "boulevard" et Jean-Jacques comédien belge dans le rôle de Zaza… Tout le sel de cette pièce avait disparu…. d'une grande lourdeur, faisant honte aux créateurs de ce petit bijou plein de finesse pour ceux qui savent déchiffrer !… Quant à Bourdon et Clavier, je laisse bien volontiers ma place à ceux qui n'ont jamais vu la pièce de théâtre… Il est effectivement dommage de n'avoir eu aucune captation de cette pièce avec leurs créateurs… Il doit bien y avoir une raison… je ne me souviens plus laquelle… RépondreDe Impétueux, le 17 mai 2010 à 1919Quand je pense que pas un Producteur n'a pensé à mettre l'original sur un support ! Insensé ! s'indigne Gilou40, rejointe en substance par Starlight… C'est vrai ; pour de bonnes ou de mauvaises raisons, La cage aux folles originelle, jouée au Théâtre du Palais-Royal par Poiret et Serrault n'a jamais été captée et ne demeure que dans le souvenir du million de spectateurs – chiffre absolument considérable pour la scène – qui y est mort de rire. Mais voilà, quelle représentation, quelle séance aurait été filmée ? Le théâtre, précisément, et le théâtre de boulevard plus encore, c'est une alchimie très particulière où de soirée en soirée, les ingrédients se modifient par la grâce du jeu des acteurs essentiellement et par la participation des spectateurs. Au cinéma, le réalisateur est maître de ses prises, de ses choix, de son rythme ; il peut faire recommencer autant de fois qu'il le souhaite une scène, varier ses éclairages, ses objectifs et tout le saint-frusquin ; voilà pourquoi le spectacle théâtral est éphémère et que nul ne peut dire s'il a assisté à la meilleure représentation qui ait jamais été donnée… je sais bien qu'au cinéma on peut toujours remonter un film, y ajouter des scènes coupées, en retirer des séquences ; mais dans une bien moins grande mesure, tout de même ! RépondreDe Gilou40, le 17 mai 2010 à 1946 Note du film 3/6Je ne voudrais pas trop m'avancer, mais il me semble que la captation d'une pièce de théâtre se fait sur plusieurs représentations, et que même, le résultat final peut être constituer, par exemple d'un premier acte fimé un 17 avril, le second un 20 avril et le troisième du 21. Justement parce que , comme vous le précisez, aucune représentation ne ressemble vraiment à une autre. Je sais que cela se fait beaucoup pour les concerts des chanteurs, suivant la forme et le talent qu'ils déploient tels ou tels soirs . RépondreDe Gilou40, le 17 août 2010 à 0141 Note du film 3/6Pour répondre à l'invitation de notre ami Vincentp, je vais vous parler d'une scène que j'aime à revoir à l'infini…. Début de la scène 1h 00 mns 18 s Un plan fixe et large. Au premier plan, une voie de chemin de fer. De l'autre côté, un quai et ce qui ressemble à une toute petite gare de campagne. A droite de cette gare, un banc en bois. Sur ce banc, Albin, Michel Serrault, est assis. Il a quitté tout son petit monde et a menacé d'en finir avec la vie. Il est censé partir mourir à Foissy… 1h 00mns 24 s Par la droite entre Rénato,Ugo Tognazzi qui marche le long du quai et vient s'asseoir à côté d'Albin. Plan rapproché sur Albin et Rénato Monologue de Rénato, en plan Américain "-Tu sais, mon cimetière à moi, il est en Lombardie. C'est le plus beau cimetière du monde. Il y a des arbres, un ciel toujours bleu, des oiseaux…Le tien, à Foissy, c'est vraiment de la merde, à côté. C'est vrai A Foissy, ils sont enterrés dans la merde !… Excuse moi de te dire ça, mais tu n'es qu'une vieille emmerdeuse aigrie. C'est vrai Tu n'excites plus personne. Tu es devenue grotesque, tu fais rire tout le monde ! Albin ne lui adresse pas un regard. Ses yeux se fixent sur un horizon dont on ne saura jamais de quoi il est fait… -Alors tu sais ce que je vais faire ? Je revends mon caveau en Lombardie et je viens avec Toi dans la merde à Foissy…-" Je trouve cette scène absolument magnifique parce que dénuée de tout artifices. Pas même une musique guimauve. Juste quelques oiseaux.. Rénato a connu plusieurs vies. Il a été marié et a eu un enfant. Enfant qui est la cause de tous ses problèmes, dans l'instant. Et lui qui est habitué aux paillettes, falbalas, aux strass, et aux lumières, il s'assied sur ce banc avec le seul bagage important pour lui L'amour qui l'a pour cet homme, son compagnon. Et il vient le lui dire, sur ce quai, au milieu de nulle part. Ce lieu magique ou nous nous trouvons bien souvent, Tous, quand il nous faut dire la vérité ou accepter la mort.. Peut être réalise t'il à cet instant, que, à part conférer à la mort une certaine idée d'éternité, il ne trouve aucun intérêt à quitter le monde des vivants. Alors il prêche le vrai pour obtenir le vrai… . 1h 02 mns 20 s Albin tourne on visage vers Rénato. Peut être, alors, son horizon prend t'il forme… Fin de la séquence RépondreDe vincentp, le 17 août 2010 à 1814Intéressant de vous lire, Gilou. Votre analyse montre parfaitement la construction assez élaborée d'une simple séquence d'un film populaire. J'avais vu ce film lors de sa sortie en salles -j'étais petit !- avec ma grand-mère, et me souviens d'une autre scène, celle du petit doigt levé en l'air lors d'une dégustation dans un salon de thé, je crois. Il serait impossible de tourner en dérision de cette façon ce type de personnage, aujourd'hui, preuve que la société a évolué. Comme dans un autre domaine, le regard porté sur les juifs. Dans une critique de cinéma très ancienne, Antonioni -qui a débuté sa carrière au cinéma par des écrits sur le cinéma italien- parlait du "juif" d'un film, comme on parle d'un "borgne". Il s'en était excusé par la suite, indiquant qu'il avait été happé par le contexte de l'Histoire. RépondreDe fretyl, le 17 août 2010 à 1941 Note du film 4/6Eh ben Antonioni était de bien mauvaise foi. Il a été exactement comme Renoir l'un des cinéastes à faire régulièrement des panégyriques envers l'Hitlérisme. Lors de la sortie du film nazi et antisémite Le juif suss, film commandé et supervisé par Goebbels en personne, Antonioni fut l'un des cinéastes Européens à exalter le film autant sur son aspect technique que politique. Il déclara même que Le juif suss incarnait la rencontre réussie entre l'art et la propagande ! Bref, un nazi ! Et ce n'est certainement pas ses excuses minables après la guerre, qui vont modifier mon opinion sur ce sujet. RépondreDe fretyl, le 17 août 2010 à 2145 Note du film 4/6A Gilou. Il y'a dans La cage aux folles y compris dans ses suites, des vrais moments de gravité. Dans La cage aux folles, un autre passage est assez pathétique – le moment ou Albin apparait devant Tognazzi et son fils, dans un costume noir extrêmement rigoureux. Essayant de se tenir comme un homme, de ne pas faire trop de geste et c'est dans cette position qu'il provoque soudainement la gène et le malaise, le reconnaissant lui même vous avez raison, c'est comme ça que je suis le plus choquant. RépondreDe Gilou40, le 17 août 2010 à 2222 Note du film 3/6Absolument, Frétyl ! C'est d'ailleurs le passage le plus émouvant avec celui que j'ai cité. Je ne sais pas dans quelle suite je ne les connais pas très bien, on voit Albin brûler toutes ses robes. C'est un moment très fort, aussi. Ces comédies dites populaires, donc reniées et dénigrées par "l'intelligentsia", peuvent renfermer quelques secondes absolument magiques… RépondreDe crego, le 9 janvier 2011 à 1014 Note du film 0/6Dire que nous avons critiqué La femme du boulanger de Galabru, alors que c'est du pur nectar de génie comparé à La cage aux folles de Clavier et Bourdon. Monument de laideur, de vulgarité. qui peut rire devant ça? RépondreDe fretyl, le 9 janvier 2011 à 1515 Note du film 4/6Quand on pense que le chef de l'État et sa première dame, ont été conviés il y a quelques mois à assister à une représentation de cet odieux massacre, on comprend que la culture française soit en baisse ! RépondreDe Impétueux, le 9 janvier 2011 à 1613Poussé par un goût revendiqué pour l'abject et le minable, je ne me suis évidemment pas privé, hier soir, de me donner le plaisir malsain de regarder l'immondice de TF1 qui, ce qui n'a rien d'étonnant, a réalisé une audience record. C'est évidemment encore pire que je ne pouvais le craindre et j'ai la forte impression que des pans notables du texte ont été supprimés, remplacés, intervertis et que, sur un fond de casserole bien connu, on a greffé de nouveaux et dégoûtants appendices. J'ai tout de même trouvé que les rires de la salle n'étaient pas si fréquents, si clairs, si désopilés que ça et que le public de gogos venus s'en donner une tranche, ne rigolait que là où la vis comica de la pièce originale est vraiment irrésistible. Voilà des gens qui auront payé très cher une soirée médiocre, et qui le méritent bien. Cela dit, la descente aux enfers de Christian Clavier et de Didier Bourdon se poursuit irrésistiblement ; il m'a paru que la mise en scène et les tripatouillages de texte sus-évoqués donnaient au premier la part plus belle que dans la vraie Cage aux folles, celle jouée au Théâtre du Palais-Royal par Jean Poiret et Michel Serrault qui mettait en valeur plutôt celui-ci que celui-là. Clavier étant davantage bankable que Bourdon, il n'y aurait rien d'étonnant que l'on ait agi de cette façon pour braquer le projecteur sur son jeu hystérique celui de Poiret ne l'était nullement, j'en atteste !. Quant à Bourdon que j'ai jadis infiniment apprécié lorsqu'il était la tête majeure des Inconnus, il y a sûrement de sa part une fascination pour la dégoulinade ; je ne comprendrais pas, sinon, comment un observateur qui fut d'une finesse absolue dans ses sketches, se présente dans un tel état grotesque. RépondreDe F, le 9 janvier 2011 à 1737 Note du film 0/6Très vrai la réécriture du rôle de Clavier. Quelle horreur ce type… Et oui pauvre Didier Bourdon qui n'a pas volé son nom tant son triste et flatulent numéro le file. Quelques bribes. c'est insupportable plus de trois minutes d'affilée. et ce pauvre jeune comédien jouant le fils qui passait son temps à hurler. j'en frémis encore! Répondre
Lesauteurs et les acteurs les plus connus y sont passés (Alexandre Dumas, Victor Hugo, Mélingue, Coquelin, Sarah Bernhardt, Louis de Funès) les pièces les plus célèbres y sont jouées (Cyrano de Bergerac, Les Misérables, Chanteclerc par le passé, la Cage aux Folles (Christian Clavier et Didier Bourdon), le malade imaginaire (Michel Bouquet), le bourgeois gentilhomme
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